Título : | Lettres Choisies | Tipo de documento: | texto impreso | Autores: | Madame de Sévigné, Autor | Mención de edición: | 1ª | Editorial: | Parix Cedex [Francia] : Hachette Livre | Fecha de publicación: | 1967 | Colección: | Classiques Illustrés Hachette | Número de páginas: | 128 p | Dimensiones: | 21 cm | Idioma : | Francés (fre) | Clasificación: | :Francés:Literatura :Teatro
| Resumen: | La jeune fille - Marie de Rabutin-Chantal, future marquise de Sévigné, est née à Paris, place Royale (aujourd’hui place Des Vosges), le 6 février 1626. Petite-fille de sainte Chantal, qui avait abandonné le monde pour fonder à Annecy l’ordre de la Visitation, et de Marie de Coulanges, elle connut à peine son père, tué en 1627 en combattant les Anglais dans l’île de Ré, et perdit sa mère à l’âge de sept ans. Elle fut sous la tutelle de ses grands-parents maternels jusqu’à l’âge de dix ans, puis de son oncle, l’abbé de Coulanges, qui mérita par ses soins dévoués l’appellation de « bien bon » qu’elle ne cessa de lui donner. Il l’éleva à Livry, dont il possédait la belle abbaye, et lui procura une instruction rare chez les femmes : il lui fit enseigner par Ménage le français, le latin, l’italien, l’espagnol ; puis les leçons de Chapelain complétèrent son éducation littéraire. Enfin la fréquentation de la cour d’Anne d’Autriche développa en elle la grâce et l’élégance, et en fit une jeune fille véritablement accomplie.
L’épouse. - A dix-huit ans, en 1644, elle épousa le marquis Henri de Sévigné, d’une très ancienne noblesse militaire de Bretagne, parent du cardinal de Retz, et maréchal de camp. Cette union ne fut pas heureuse. Le marquis, homme de plaisir, joueur et bretteur, l’emmena d’abord dans sa terre des Rochers, près de Vitré, et lui fit passer dans cette sorte d’exil deux années d’une existence solitaire et morne. Puis il la ramena à Paris, où il la rendit malheureuse par ses brusqueries et sa mauvaise humeur et finit par la délaisser. Mais il mourut bientôt, victime d’une rivalité suscitée par sa passion pour Mme de Gondran ; il fut tué en duel par le chevalier d’Albret, autre soupirant de cette dame, sept ans après son mariage. |
Lettres Choisies [texto impreso] / Madame de Sévigné, Autor . - 1ª . - Parix Cedex (43, Quai de Grenelle, F 75905, Francia) : Hachette Livre, 1967 . - 128 p ; 21 cm. - ( Classiques Illustrés Hachette) . Idioma : Francés ( fre) Clasificación: | :Francés:Literatura :Teatro
| Resumen: | La jeune fille - Marie de Rabutin-Chantal, future marquise de Sévigné, est née à Paris, place Royale (aujourd’hui place Des Vosges), le 6 février 1626. Petite-fille de sainte Chantal, qui avait abandonné le monde pour fonder à Annecy l’ordre de la Visitation, et de Marie de Coulanges, elle connut à peine son père, tué en 1627 en combattant les Anglais dans l’île de Ré, et perdit sa mère à l’âge de sept ans. Elle fut sous la tutelle de ses grands-parents maternels jusqu’à l’âge de dix ans, puis de son oncle, l’abbé de Coulanges, qui mérita par ses soins dévoués l’appellation de « bien bon » qu’elle ne cessa de lui donner. Il l’éleva à Livry, dont il possédait la belle abbaye, et lui procura une instruction rare chez les femmes : il lui fit enseigner par Ménage le français, le latin, l’italien, l’espagnol ; puis les leçons de Chapelain complétèrent son éducation littéraire. Enfin la fréquentation de la cour d’Anne d’Autriche développa en elle la grâce et l’élégance, et en fit une jeune fille véritablement accomplie.
L’épouse. - A dix-huit ans, en 1644, elle épousa le marquis Henri de Sévigné, d’une très ancienne noblesse militaire de Bretagne, parent du cardinal de Retz, et maréchal de camp. Cette union ne fut pas heureuse. Le marquis, homme de plaisir, joueur et bretteur, l’emmena d’abord dans sa terre des Rochers, près de Vitré, et lui fit passer dans cette sorte d’exil deux années d’une existence solitaire et morne. Puis il la ramena à Paris, où il la rendit malheureuse par ses brusqueries et sa mauvaise humeur et finit par la délaisser. Mais il mourut bientôt, victime d’une rivalité suscitée par sa passion pour Mme de Gondran ; il fut tué en duel par le chevalier d’Albret, autre soupirant de cette dame, sept ans après son mariage. |
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