Título : | Iphigénie | Tipo de documento: | texto impreso | Autores: | Jean Racine, Autor | Mención de edición: | 1ª | Editorial: | Parix Cedex [Francia] : Hachette Livre | Fecha de publicación: | 1970 | Colección: | Classiques Illustrés Hachette | Número de páginas: | 136 p | Dimensiones: | 21 cm | Idioma : | Francés (fre) | Clasificación: | :Francés:Literatura :Teatro
| Etiquetas: | clásicos obras | Resumen: | La flotte grecque, rassemblée à Aulis sous le commandement d’Agamemnon, est retenue dans le port depuis trois mois par un calme plat. L’oracle, consulté, a répondu que les dieux ne permettront aux Grecs de quitter le port que lorsque Iphigénie, du sang d’Hélène et fille d’Agamemnon, aura été immolée sur l’autel de Diane. Le chef des Grecs se soumet à cet ordre cruel et fait venir sa fille d’Argos sous prétexte de l’unir, avant le départ de la flotte, à Achille, son fiancé. Mais la tendresse paternelle, un moment vaincue par l’ambition, a bientôt repris son empire. Saisi de remords, il envoie son serviteur fidèle, Arcas, avec ordre de faire rebrousser chemin à sa fille, sous prétexte qu’Achille a changé de pensée et que le mariage projeté ne peut s’accomplir. Mais le messager n’est pas parvenu à Iphigénie qui arrive, inattendue, au camp des Grecs, accompagnée de sa mère Clytemnestre et d’Ériphile, jeune esclave lesbienne enlevée par Achille. Agamemnon voit dans ce contretemps l’effet du destin ; il se résigne et fait tout préparer pour le sacrifice. Mais Arcas, de retour, révèle a la reine le terrible secret dont il a reçu la confidence. Que l’on juge de l’indignation de Clytemnestre et de la colère d’Achille. Celui-ci s’emporte contre Agamemnon, jure de sauver sa fiancée et de venger dans le sang de ce père dénaturé l’odieux dessein qu’il a formé. Iphigénie seule se résigne à mourir puisque les dieux l’exigent et que la gloire promise à son père est à ce prix. Agamemnon, vaincu par les instances de son épouse et la touchante résignation de sa fille, se décide à faire une nouvelle tentative pour éloigner secrètement Iphigénie du camp. Mais Ériphile, qui aime aussi Achille, dans un transport de jalousie avertit le prêtre Calchas de ce qui se trame ; les Grecs se soulèvent et s’opposent à la fuite d’Iphigénie. Achille et Clytemnestre jurent de la défendre contre toute l’armée, mais elle est, malgré eux, entraînée à l’autel. Calchas va la frapper du coup mortel, lorsque, tout à coup, il s’arrête ; une révélation nouvelle de la déesse lui apprend qu’il a mal compris l’oracle, que le sang que les dieux demandent, c’est celui d’une autre Iphigénie, issue du même sang que la fille d’Agamemnon, savoir Ériphile qui est venue assister à la mort de sa rivale. Celle-ci, furieuse, n’attend pas que Calchas porte la main sur elle ; elle saisit le couteau sacré et se perce le sein. Aussitôt le vent se lève, les voiles des vaisseaux s’agitent et annoncent que la déesse est satisfaite. |
Iphigénie [texto impreso] / Jean Racine, Autor . - 1ª . - Parix Cedex (43, Quai de Grenelle, F 75905, Francia) : Hachette Livre, 1970 . - 136 p ; 21 cm. - ( Classiques Illustrés Hachette) . Idioma : Francés ( fre) Clasificación: | :Francés:Literatura :Teatro
| Etiquetas: | clásicos obras | Resumen: | La flotte grecque, rassemblée à Aulis sous le commandement d’Agamemnon, est retenue dans le port depuis trois mois par un calme plat. L’oracle, consulté, a répondu que les dieux ne permettront aux Grecs de quitter le port que lorsque Iphigénie, du sang d’Hélène et fille d’Agamemnon, aura été immolée sur l’autel de Diane. Le chef des Grecs se soumet à cet ordre cruel et fait venir sa fille d’Argos sous prétexte de l’unir, avant le départ de la flotte, à Achille, son fiancé. Mais la tendresse paternelle, un moment vaincue par l’ambition, a bientôt repris son empire. Saisi de remords, il envoie son serviteur fidèle, Arcas, avec ordre de faire rebrousser chemin à sa fille, sous prétexte qu’Achille a changé de pensée et que le mariage projeté ne peut s’accomplir. Mais le messager n’est pas parvenu à Iphigénie qui arrive, inattendue, au camp des Grecs, accompagnée de sa mère Clytemnestre et d’Ériphile, jeune esclave lesbienne enlevée par Achille. Agamemnon voit dans ce contretemps l’effet du destin ; il se résigne et fait tout préparer pour le sacrifice. Mais Arcas, de retour, révèle a la reine le terrible secret dont il a reçu la confidence. Que l’on juge de l’indignation de Clytemnestre et de la colère d’Achille. Celui-ci s’emporte contre Agamemnon, jure de sauver sa fiancée et de venger dans le sang de ce père dénaturé l’odieux dessein qu’il a formé. Iphigénie seule se résigne à mourir puisque les dieux l’exigent et que la gloire promise à son père est à ce prix. Agamemnon, vaincu par les instances de son épouse et la touchante résignation de sa fille, se décide à faire une nouvelle tentative pour éloigner secrètement Iphigénie du camp. Mais Ériphile, qui aime aussi Achille, dans un transport de jalousie avertit le prêtre Calchas de ce qui se trame ; les Grecs se soulèvent et s’opposent à la fuite d’Iphigénie. Achille et Clytemnestre jurent de la défendre contre toute l’armée, mais elle est, malgré eux, entraînée à l’autel. Calchas va la frapper du coup mortel, lorsque, tout à coup, il s’arrête ; une révélation nouvelle de la déesse lui apprend qu’il a mal compris l’oracle, que le sang que les dieux demandent, c’est celui d’une autre Iphigénie, issue du même sang que la fille d’Agamemnon, savoir Ériphile qui est venue assister à la mort de sa rivale. Celle-ci, furieuse, n’attend pas que Calchas porte la main sur elle ; elle saisit le couteau sacré et se perce le sein. Aussitôt le vent se lève, les voiles des vaisseaux s’agitent et annoncent que la déesse est satisfaite. |
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