Título : | Le Jeu de l'Amour et du Hasard | Tipo de documento: | texto impreso | Autores: | Pierre de Marivaux, Autor | Mención de edición: | 1ª | Editorial: | Paris [Francia] : Editions Bordas | Fecha de publicación: | 1980 | Colección: | Univers des Lettres Bordas | Número de páginas: | 128 p | Dimensiones: | 17 cm | ISBN/ISSN/DL: | 978-2-04-015071-6 | Idioma : | Francés (fre) | Clasificación: | :Francés:Literatura :Teatro
| Etiquetas: | clásicos obras | Resumen: | Épouser un homme qu’elle n’a jamais vu, tel est le sort qui est réservé à Silvia, que son père a fiancée au fils d’un de ses amis de province, Dorante. Ce dernier doit arriver le jour même, pour faire la connaissance de sa promise. Effrayée par cette perspective, Silvia imagine un stratagème, afin de pouvoir observer incognito son futur époux. Lisette, sa soubrette, prendra sa place, tandis qu’elle jouera le rôle de la servante. Le père acquiesce d’autant plus volontiers à son désir qu’une lettre vient de lui apprendre que Dorante a eu la même idée, et que c’est sous le nom d’Arlequin, son valet, qu’il va se présenter chez Monsieur Orgon. Le jeune homme arrive, en compagnie de son «maître », qui n’est, bien sûr, qu’Arlequin déguisé en gentilhomme. Dès le premier regard, Silvia-Lisette est sensible au charme du domestique et s’étonne qu’il puisse servir un rustre. Quant à Lisette-Silvia, elle trouve ce grossier personnage fort à son goût et se voit déjà grande dame... Ce chassé- croisé amoureux réjouit les serviteurs et met les maîtres à la torture. Dorante finit par avouer à Silvia sa véritable identité, sans que celle-ci lui apprenne qu’elle n’est pas la servante, comme il le croit. Elle veut être aimée pour elle-même, sans égard pour sa « condition ». Pari risqué... Dorante osera-t-il transgresser les préjugés de sa caste et demander « Lisette » en mariage? Quand il s’y décide, la jeune fille jette le masque et laisse éclater sa joie. Tout rentre alors dans l’ordre les jeunes gens « de bonne famille », qui se sont reconnus en dépit des déguisements, se marient, et les serviteurs, dégrisés mais heureux, convolent à leur tour en justes noces. |
Le Jeu de l'Amour et du Hasard [texto impreso] / Pierre de Marivaux, Autor . - 1ª . - Paris (31 avenue Pierre de Coubertin,, 75211, Francia) : Editions Bordas, 1980 . - 128 p ; 17 cm. - ( Univers des Lettres Bordas) . ISBN : 978-2-04-015071-6 Idioma : Francés ( fre) Clasificación: | :Francés:Literatura :Teatro
| Etiquetas: | clásicos obras | Resumen: | Épouser un homme qu’elle n’a jamais vu, tel est le sort qui est réservé à Silvia, que son père a fiancée au fils d’un de ses amis de province, Dorante. Ce dernier doit arriver le jour même, pour faire la connaissance de sa promise. Effrayée par cette perspective, Silvia imagine un stratagème, afin de pouvoir observer incognito son futur époux. Lisette, sa soubrette, prendra sa place, tandis qu’elle jouera le rôle de la servante. Le père acquiesce d’autant plus volontiers à son désir qu’une lettre vient de lui apprendre que Dorante a eu la même idée, et que c’est sous le nom d’Arlequin, son valet, qu’il va se présenter chez Monsieur Orgon. Le jeune homme arrive, en compagnie de son «maître », qui n’est, bien sûr, qu’Arlequin déguisé en gentilhomme. Dès le premier regard, Silvia-Lisette est sensible au charme du domestique et s’étonne qu’il puisse servir un rustre. Quant à Lisette-Silvia, elle trouve ce grossier personnage fort à son goût et se voit déjà grande dame... Ce chassé- croisé amoureux réjouit les serviteurs et met les maîtres à la torture. Dorante finit par avouer à Silvia sa véritable identité, sans que celle-ci lui apprenne qu’elle n’est pas la servante, comme il le croit. Elle veut être aimée pour elle-même, sans égard pour sa « condition ». Pari risqué... Dorante osera-t-il transgresser les préjugés de sa caste et demander « Lisette » en mariage? Quand il s’y décide, la jeune fille jette le masque et laisse éclater sa joie. Tout rentre alors dans l’ordre les jeunes gens « de bonne famille », qui se sont reconnus en dépit des déguisements, se marient, et les serviteurs, dégrisés mais heureux, convolent à leur tour en justes noces. |
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